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Les mésanges

Les mésanges

Les mésanges appartiennent à la famille des paridés. Cette famille regroupe une cinquantaine d’espèces réparties par régions géographiques (Europe, Euro-asiatique, Amérique, Afrique). Anciennement, la majorité de ces espèces appartenait au genre Parus. Elles figurent actuellement au sein de quatre autres genres : Cyanistes, Lophophanes, Periparus et Poecile. La mésange à longue queue fait, quant à elle, partie de la famille des Aegithalidés. Ce sont de petits oiseaux actifs, au bec court, assez trapus. Ils sont arboricoles, insectivores et granivores. Le mâle et la femelle sont semblables et les jeunes ressemblent aux adultes. Les mésanges sont très sociables, grégaires et, pour la plupart, sédentaires (selon les températures et les ressources alimentaires). Elles vagabondent en bande sur leur territoire en hiver (hors reproduction). Ces bandes appelées « rondes » peuvent utiliser le même itinéraire de vol pendant plusieurs jours. D’autres espèces d’oiseaux peuvent alors se joindre à la ronde comme les sittelles sp., les pics épeichettes et grimpereaux sp. Cela a l’avantage de les protéger des prédateurs et chacun des individus peut bénéficier de l’expérience d’un membre du groupe plus expérimenté. Par exemple, la découverte d’une source alimentaire abondante profitant à tous.

Lorsqu’arrive le printemps, les mésanges et autres espèces se séparent, poussées par l’instinct de reproduction. Les mâles se mettent en quête d’un territoire qu’ils défendront contre leurs congénères d’une surface minimale d’un demi-hectare. Leurs chants s’intensifient pour attirer une femelle et les femelles, quant à elles, partent à la recherche d’un mâle à leur convenance. Le mâle Mésange bleue effectue une parade nuptiale en volant en glisse vers le nid pour inviter la femelle et lui offre de la nourriture. La femelle, si elle est d’accord, adopte alors une position de quémandage typique des juvéniles : les ailes baissées et le bec ouvert. On suppose que, par cette façon de procéder, la femelle juge les capacités de son éventuel partenaire à participer au ravitaillement d’une nichée affamée. Chez certaines espèces, comme la mésange à tête noire, c’est la femelle qui détermine l’emplacement du nid. Lors de l’offrande, le mâle adopte lui aussi une position caractéristique de la parade amoureuse, il déploie ses ailes et les fait trembler. Toute la parade est accompagnée de nombreux cris du couple. Ce dernier peut faire deux nichées par an. La ponte représente de 6 à 8 œufs pour la mésange à tête noire, jusqu’à 15 pour des espèces telles que la mésange bleue ou la charbonnière. L’incubation, qui dure deux semaines environ est assurée exclusivement par la femelle, le mâle pourvoit au ravitaillement de celle-ci. L’éclosion des œufs s’échelonne sur deux à quatre jours. Chacun des poussins reçoit en moyenne cinquante becquées par jour pendant deux semaines, quelquefois trois. Durant cette période, les petits ne quittent pas le nid. Les études physiologiques de l’ornithologue canadien M.E.P. Odum ont montré que les parents sont à la limite de la résistance physique en fin d’élevage. Une fois les jeunes sortis du nid, les parents les accompagnent encore une semaine. Le groupe familial est alors très bruyant, les jeunes mésanges réclamant leur pitance avec forts cris.

Durant l’hiver, les mésanges explorent les fissures des murs et des écorces pour y débusquer les chrysalides, les larves, les insectes engourdis ou les araignées, sans négliger les œufs, pourtant minuscules, de ces arthropodes. Elles inspectent les bouquets d’aiguilles des conifères en quête d’invertébrés, traquent les petits mollusques. Des espèces comme la mésange bleue ou la mésange charbonnière savent faire preuve d’astuce : la première perce la tige des roseaux secs pour dénicher les petits animaux qui y ont trouvé refuge, la seconde profite de la graisse qui peut subsister sous la peau des carcasses abandonnées par les prédateurs. En plus de cette nourriture de type carnivore, les mésanges se régalent en hiver de végétaux de toutes sortes, dans une proportion parfois considérable. Ce sont des graines diverses, des glands de hêtre, des fruits de frêne ou d’érable, des noisettes, parfois des noix. Les fruits du fusain, de l’if ou de l’aubépine figurent aussi au menu hivernal. Des espèces américaines comme la mésange à tête noire ou euro-asiatiques comme la mésange noire exploitent avec méthode les pommes de pin, dont elles extraient les graines nichées entre les écailles. Certaines espèces de mésanges, dont la mésange charbonnière ou celle à tête noire, peuvent faire preuve de beaucoup d’astuce et s’adapter à des situations nouvelles. Ainsi, elles sont capables de tirer avec le bec un fil auquel se trouve suspendue une arachide en maintenant le fil coincé sur le perchoir grâce à l’une des pattes ; l’opération est répétée jusqu’à ce que la « récompense » soit à portée de bec.

Lorsqu’arrive le printemps, les mésanges délaissent progressivement les aliments d’origine végétale pour se livrer à la capture d’insectes, quel que soit le stade que ceux-ci aient atteint. La mésange est un des principaux prédateurs des larves de chenilles processionnaires, insensible à leurs poils urticants. Vers la fin de l’été, la nidification achevée, les mésanges privilégient de nouveau les végétaux. C’est en effet l’époque de la fructification des baies molles comme les mûres ou comme celles des sureaux, dont les mésanges consomment les pépins mais dédaignent la chair. C’est aussi la période des pommes et des poires, qu’elles visitent généralement une fois tombées à terre. Leur chair est appréciée, et leurs pépins, savamment décortiqués. Ce mode d’alimentation varie selon les espèces, leur taille, leur habitat et leur répartition géographique.

Les mésanges fréquentent principalement les régions boisées, qu’il s’agisse de boisements de conifères ou de feuillus, ou bien de boisements mixtes réunissant des essences à feuilles persistantes et à feuilles caduques. La Mésange bleue est la mésange la plus commune en France avec la mésange charbonnière. En Europe occidentale et en Amérique du Nord surtout, plusieurs espèces ont su s’adapter aux paysages modelés par l’homme. En Europe, la mésange charbonnière, la mésange bleue ou la mésange nonnette se sont accommodées du bocage, des vergers, des parcs et des jardins. En Amérique du Nord, la mésange bicolore, la mésange à tête noire et la mésange minime sont, elles aussi, les hôtes des jardins.

Les mésanges contribuent activement à limiter le nombre des insectes phytophages (consommateurs de matière végétale) et ainsi, participent à leur manière au maintien de l’équilibre biologique. En outre, l’habitude qu’ont plusieurs espèces, dont la mésange à tête noire, de cacher des graines sous les mousses ou les écorces décollées permet à d’autres oiseaux, comme les geais, d’en profiter. Quant aux semences qui ne sont consommées ni par les mésanges ni par les geais, elles permettent la dissémination des espèces végétales considérées.

Les ennemis des mésanges ne se limitent pas aux prédateurs. Les conditions atmosphériques sévères (le froid pour les espèces des régions tempérées ; la sécheresse pour les espèces africaines) et le manque de nourriture provoquent aussi des pertes. Les prédateurs sont surtout de petits mammifères carnassiers tels que les mustélidés, ou des rapaces de taille modeste. Dans les forêts de conifères, la martre et la zibeline sont sans doute, parmi les mammifères, les plus féroces ennemis des mésanges. L’écureuil roux, euro-asiatique, ou l’écureuil gris, américain, s’attaquent surtout aux nids. Des rapaces comme l’épervier d’Europe, l’épervier minule d’Afrique ou encore, en Amérique du Nord, les éperviers striés ou de Cooper sont les plus susceptibles de capturer des mésanges. Enfin, les corvidés (pies et geais, notamment) détruisent aussi des couvées.

Les mésanges sont de réelles auxiliaires de l’agriculture et de la sylviculture, singulièrement lors de la nidification. Elles peuvent alors détruire une insigne quantité d’insectes. Ainsi, un couple de mésanges charbonnières ayant en charge une nichée moyenne de neuf petits doit-il fournir entre 270 et 630 becquées par jour, qui peuvent comporter plus de 1 800 chenilles et insectes. Sur l’ensemble du séjour au nid, cela peut représenter jusqu’à 15 000 proies, auxquelles s’ajoutent celles capturées pour la nourriture des adultes eux-mêmes. Là où les densités de nicheurs sont élevées, les seules mésanges charbonnières parviennent à détruire plus de 150 000 insectes, larves et chenilles pour une surface de 10 ha. L’ornithologue russe K. Blagosklonov indique également qu’une mésange nonnette peut consommer en un jour 38 chenilles de bombyx, soit 21,4 g, soit 183 % du poids de l’oiseau. De tels chiffres permettent de comprendre pourquoi certains pays, dont la Russie ont élaboré de vastes programmes favorisant les mésanges et d’autres insectivores.

Les oiseaux qui, à l’instar des mésanges, ont choisi de vivre au voisinage immédiat de l’homme s’exposent à quelques périls. Les chats ou les dénicheurs en culottes courtes n’en sont pas les uniques coupables. Les vérandas apposées aux maisons individuelles est trop souvent à l’origine d’accidents meurtriers en série. Ne percevant pas l’obstacle transparent, les mésanges percutent la vitre de plein fouet. Dans le meilleur des cas, l’oiseau s’assomme et peut reprendre son vol après quelques instants, mais, bien souvent, c’est la mort instantanée. Pour éviter cela, il suffit de placer sur la vitre une silhouette de rapace en plastique adhésif.

Source : https://www.larousse.fr/encyclopedie/vie-sauvage/m%C3%A9sange/184025 https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9sange

Les mésanges appartiennent à la famille des paridés. Cette famille regroupe une cinquantaine d’espèces réparties par régions géographiques (Europe, Euro-asiatique, Amérique, Afrique). Anciennement, la majorité de ces espèces appartenait au genre Parus. Elles figurent actuellement au sein de quatre autres genres : Cyanistes, Lophophanes, Periparus et Poecile. La mésange à longue queue fait, quant à elle, partie de la famille des Aegithalidés. Ce sont de petits oiseaux actifs, au bec court, assez trapus. Ils sont arboricoles, insectivores et granivores. Le mâle et la femelle sont semblables et les jeunes ressemblent aux adultes. Les mésanges sont très sociables, grégaires et, pour la plupart, sédentaires (selon les températures et les ressources alimentaires). Elles vagabondent en bande sur leur territoire en hiver (hors reproduction). Ces bandes appelées « rondes » peuvent utiliser le même itinéraire de vol pendant plusieurs jours. D’autres espèces d’oiseaux peuvent alors se joindre à la ronde comme les sittelles sp., les pics épeichettes et grimpereaux sp. Cela a l’avantage de les protéger des prédateurs et chacun des individus peut bénéficier de l’expérience d’un membre du groupe plus expérimenté. Par exemple, la découverte d’une source alimentaire abondante profitant à tous.

Lorsqu’arrive le printemps, les mésanges et autres espèces se séparent, poussées par l’instinct de reproduction. Les mâles se mettent en quête d’un territoire qu’ils défendront contre leurs congénères d’une surface minimale d’un demi-hectare. Leurs chants s’intensifient pour attirer une femelle et les femelles, quant à elles, partent à la recherche d’un mâle à leur convenance. Le mâle Mésange bleue effectue une parade nuptiale en volant en glisse vers le nid pour inviter la femelle et lui offre de la nourriture. La femelle, si elle est d’accord, adopte alors une position de quémandage typique des juvéniles : les ailes baissées et le bec ouvert. On suppose que, par cette façon de procéder, la femelle juge les capacités de son éventuel partenaire à participer au ravitaillement d’une nichée affamée. Chez certaines espèces, comme la mésange à tête noire, c’est la femelle qui détermine l’emplacement du nid. Lors de l’offrande, le mâle adopte lui aussi une position caractéristique de la parade amoureuse, il déploie ses ailes et les fait trembler. Toute la parade est accompagnée de nombreux cris du couple. Ce dernier peut faire deux nichées par an. La ponte représente de 6 à 8 œufs pour la mésange à tête noire, jusqu’à 15 pour des espèces telles que la mésange bleue ou la charbonnière. L’incubation, qui dure deux semaines environ est assurée exclusivement par la femelle, le mâle pourvoit au ravitaillement de celle-ci. L’éclosion des œufs s’échelonne sur deux à quatre jours. Chacun des poussins reçoit en moyenne cinquante becquées par jour pendant deux semaines, quelquefois trois. Durant cette période, les petits ne quittent pas le nid. Les études physiologiques de l’ornithologue canadien M.E.P. Odum ont montré que les parents sont à la limite de la résistance physique en fin d’élevage. Une fois les jeunes sortis du nid, les parents les accompagnent encore une semaine. Le groupe familial est alors très bruyant, les jeunes mésanges réclamant leur pitance avec forts cris.

Durant l’hiver, les mésanges explorent les fissures des murs et des écorces pour y débusquer les chrysalides, les larves, les insectes engourdis ou les araignées, sans négliger les œufs, pourtant minuscules, de ces arthropodes. Elles inspectent les bouquets d’aiguilles des conifères en quête d’invertébrés, traquent les petits mollusques. Des espèces comme la mésange bleue ou la mésange charbonnière savent faire preuve d’astuce : la première perce la tige des roseaux secs pour dénicher les petits animaux qui y ont trouvé refuge, la seconde profite de la graisse qui peut subsister sous la peau des carcasses abandonnées par les prédateurs. En plus de cette nourriture de type carnivore, les mésanges se régalent en hiver de végétaux de toutes sortes, dans une proportion parfois considérable. Ce sont des graines diverses, des glands de hêtre, des fruits de frêne ou d’érable, des noisettes, parfois des noix. Les fruits du fusain, de l’if ou de l’aubépine figurent aussi au menu hivernal. Des espèces américaines comme la mésange à tête noire ou euro-asiatiques comme la mésange noire exploitent avec méthode les pommes de pin, dont elles extraient les graines nichées entre les écailles. Certaines espèces de mésanges, dont la mésange charbonnière ou celle à tête noire, peuvent faire preuve de beaucoup d’astuce et s’adapter à des situations nouvelles. Ainsi, elles sont capables de tirer avec le bec un fil auquel se trouve suspendue une arachide en maintenant le fil coincé sur le perchoir grâce à l’une des pattes ; l’opération est répétée jusqu’à ce que la « récompense » soit à portée de bec.

Lorsqu’arrive le printemps, les mésanges délaissent progressivement les aliments d’origine végétale pour se livrer à la capture d’insectes, quel que soit le stade que ceux-ci aient atteint. La mésange est un des principaux prédateurs des larves de chenilles processionnaires, insensible à leurs poils urticants. Vers la fin de l’été, la nidification achevée, les mésanges privilégient de nouveau les végétaux. C’est en effet l’époque de la fructification des baies molles comme les mûres ou comme celles des sureaux, dont les mésanges consomment les pépins mais dédaignent la chair. C’est aussi la période des pommes et des poires, qu’elles visitent généralement une fois tombées à terre. Leur chair est appréciée, et leurs pépins, savamment décortiqués. Ce mode d’alimentation varie selon les espèces, leur taille, leur habitat et leur répartition géographique.

Les mésanges fréquentent principalement les régions boisées, qu’il s’agisse de boisements de conifères ou de feuillus, ou bien de boisements mixtes réunissant des essences à feuilles persistantes et à feuilles caduques. La Mésange bleue est la mésange la plus commune en France avec la mésange charbonnière. En Europe occidentale et en Amérique du Nord surtout, plusieurs espèces ont su s’adapter aux paysages modelés par l’homme. En Europe, la mésange charbonnière, la mésange bleue ou la mésange nonnette se sont accommodées du bocage, des vergers, des parcs et des jardins. En Amérique du Nord, la mésange bicolore, la mésange à tête noire et la mésange minime sont, elles aussi, les hôtes des jardins.

Les mésanges contribuent activement à limiter le nombre des insectes phytophages (consommateurs de matière végétale) et ainsi, participent à leur manière au maintien de l’équilibre biologique. En outre, l’habitude qu’ont plusieurs espèces, dont la mésange à tête noire, de cacher des graines sous les mousses ou les écorces décollées permet à d’autres oiseaux, comme les geais, d’en profiter. Quant aux semences qui ne sont consommées ni par les mésanges ni par les geais, elles permettent la dissémination des espèces végétales considérées.

Les ennemis des mésanges ne se limitent pas aux prédateurs. Les conditions atmosphériques sévères (le froid pour les espèces des régions tempérées ; la sécheresse pour les espèces africaines) et le manque de nourriture provoquent aussi des pertes. Les prédateurs sont surtout de petits mammifères carnassiers tels que les mustélidés, ou des rapaces de taille modeste. Dans les forêts de conifères, la martre et la zibeline sont sans doute, parmi les mammifères, les plus féroces ennemis des mésanges. L’écureuil roux, euro-asiatique, ou l’écureuil gris, américain, s’attaquent surtout aux nids. Des rapaces comme l’épervier d’Europe, l’épervier minule d’Afrique ou encore, en Amérique du Nord, les éperviers striés ou de Cooper sont les plus susceptibles de capturer des mésanges. Enfin, les corvidés (pies et geais, notamment) détruisent aussi des couvées.

Les mésanges sont de réelles auxiliaires de l’agriculture et de la sylviculture, singulièrement lors de la nidification. Elles peuvent alors détruire une insigne quantité d’insectes. Ainsi, un couple de mésanges charbonnières ayant en charge une nichée moyenne de neuf petits doit-il fournir entre 270 et 630 becquées par jour, qui peuvent comporter plus de 1 800 chenilles et insectes. Sur l’ensemble du séjour au nid, cela peut représenter jusqu’à 15 000 proies, auxquelles s’ajoutent celles capturées pour la nourriture des adultes eux-mêmes. Là où les densités de nicheurs sont élevées, les seules mésanges charbonnières parviennent à détruire plus de 150 000 insectes, larves et chenilles pour une surface de 10 ha. L’ornithologue russe K. Blagosklonov indique également qu’une mésange nonnette peut consommer en un jour 38 chenilles de bombyx, soit 21,4 g, soit 183 % du poids de l’oiseau. De tels chiffres permettent de comprendre pourquoi certains pays, dont la Russie ont élaboré de vastes programmes favorisant les mésanges et d’autres insectivores.

Les oiseaux qui, à l’instar des mésanges, ont choisi de vivre au voisinage immédiat de l’homme s’exposent à quelques périls. Les chats ou les dénicheurs en culottes courtes n’en sont pas les uniques coupables. Les vérandas apposées aux maisons individuelles est trop souvent à l’origine d’accidents meurtriers en série. Ne percevant pas l’obstacle transparent, les mésanges percutent la vitre de plein fouet. Dans le meilleur des cas, l’oiseau s’assomme et peut reprendre son vol après quelques instants, mais, bien souvent, c’est la mort instantanée. Pour éviter cela, il suffit de placer sur la vitre une silhouette de rapace en plastique adhésif.

Source : https://www.larousse.fr/encyclopedie/vie-sauvage/m%C3%A9sange/184025 https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9sange

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